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Vous êtes ici : Accueil / Récit de Voyage Freestyle / Only in Bulgarrrrrria, Baby : Histoires WTF de Voyage Bulgares (2)

Only in Bulgarrrrrria, Baby : Histoires WTF de Voyage Bulgares (2)

27/11/2020 By Annajo Janisz 2 commentaires

Mes histoires insolites de voyage en Bulgarie suivent leur cours. Après avoir, dans la première partie de mon récit vagabond, retrouvé mon ami bulgare Yan dans les montagnes au centre du pays, à Sliven, je passe ma première nuit chez ses parents, heureuse d’avoir retrouvé mon ami sur sa terre natale. Nous fêtons nos retrouvailles avec force vidage de bouteilles de bière en plastique de 2 litres (!) et de rakia, l’eau-de-vie superstar-des-Balkans-mais-qui-déborde-aussi-dans-les-autres-pays-à-côté. Couchés à 1h du matin.

Ce qui n’empêche pas mon ami, qui en a vu d’autres niveau alcoolémie, de me réveiller, à l’aube, avec une joie aussi violente qu’inouïe. Pas vraiment habituée des petits matins en voyage, c’est néanmoins avec un grand sourire que je me tire d’un sommeil court mais bienfaiteur : quoi de mieux que de crapahuter dans les sublimes paysages de Bulgarie, de se tisser de nouvelles histoires incroyables vécues autour du monde, avec un pote qu’on prend tellement de plaisir à retrouver, accompagné de sa famille rieuse ?

Arrêt obligé, avec Yan, son frère et leurs parents, qui nous accompagnent et se prennent au jeu du guide avec plaisir, à la salle de congrès soviétique de Bouzloudja. Cette ancienne maison du Parti Communiste bulgare aujourd’hui abandonnée culmine à 1441 m d’altitude (c’est Wikipédia qui le dit : jsuis pas allée vérifier au mètre près ^^). Elle raconte au nomade de passage en Bulgarie une histoire remarquable : pas moins de 6 000 personnes auraient cravaché ici pour construire ce truc qui ressemble à une soucoupe volante qui aurait atterri un beau jour (les communistes bulgares viennent-ils d’une autre planète ?) pour ne plus jamais redécoller. À côté se dresse sa tour de 70 mètres et ses étoiles couleur rubis de 12 mètres de hauteur, rien que ça.

la maison du Communisme raconte ses histoires insolites à celui qui voyage en Bulgarie

Des lieux tels que ce monument bulgare racontent au voyageur mille histoires extraordinaires. J’aime les monuments abandonnés, reliques d’un temps disparu où ils brillaient de mille feux. Mon imagination déploie des histoires fantastiques dans ces endroits où la splendeur des idéologies éteintes est recouverte par le cours des choses. L’Histoire est une série de cycles sans fin. Plus qu’un voyage, c’est un vagabondage dans le temps que me permet l’exploration de tels lieux.

Cela me rappelle aussi que, peu importe l’idée, elle est un jour ensevelie par le temps et les idées nouvelles.

Yan dévoile à la voyageuse que je suis l’histoire originale de ce monument bulgare, qui fut inauguré en 1981 quand les socialistes se rassemblèrent en secret afin d’organiser leur mouvement. Sa construction a duré 7 ans, et pas moins de 20 peintres et sculpteurs du pays s’y sont attelés.

À l’intérieur, l’histoire incroyable bulgare livre ses secrets aux voyageurs : des mosaïques rongées par les ans racontent des batailles ou des scènes à la gloire d’une nation socialiste, surveillées de près par Engels, Marx et Lénine. Une faible lumière troue de part en part les murs qui hésitent entre maintenir en vie un moment de l’Histoire qu’ils soutenaient et auquel ils tenaient, et s’effondrer, fatigués par l’écoulement incessant des opinions et des années. Il y flotte le parfum doux-âcre des révolutions révolues.

Non loin de là se dresse le Mémorial de Chipka, érigé en 1934 près du col de Chipka, en souvenir des 3 batailles de 1877-78, pendant la guerre opposant les Russes et les Turcs.

Nous changeons ensuite de décor : nous quittons des lieux chargés d’histoire pour visiter un endroit saupoudré de religion. Le monastère Sokolski de la région de Gabrovo accueille nos pas échauffés et nous ouvre ses portes sur sa cour intérieure fleurie, de toute senteur et de toute beauté, où paresse une coquette fontaine. On peut boire l’eau de la fontaine en toute quiétude : la Bulgarie est connue pour son eau de source incroyablement pure et cristalline (il n’y a pas que la rakia, allons !). Le monastère bulgare livre lui aussi, au globetrotter, son histoire insolite : il s’improvisa hôpital lors de la guerre russo-turque de 1877-78. On peut y passer quelques nuits en louant une chambre afin de profiter de la sérénité des lieux.

En Bulgarie, le voyageur découvre ce joli monastère qui recèle bien des histoires insolites

Lors de ma visite des environs, les narines titillées tantôt par quelque fumet replet et nourrissant, tantôt par des effluves de fleurs, mon regard s’arrête sur un portail vert débordant de rouille où est accroché, sous un grand noeud en satin noir, une affichette intriguante. Dessus, la photo d’une dame rondelette aux cheveux gris vêtue d’une chemise blanche et d’une veste noire. Je devine qu’il s’agit d’une commémoration, mais laquelle ? Yan, prenant son rôle de guide de voyage très au sérieux, m’explique l’histoire curieuse de ces affichettes : en Bulgarie, on rend hommage aux morts en affichant leur visage sur les portails, les arbres parfois, ou les lampadaires. C’est un « necrolog » comme ils disent ici, afin que ceux-ci ne sombrent pas dans l’oubli. Cette tradition, très ancrée en Bulgarie, je l’avais déjà rencontrée dans mon pays natal, la Pologne, mais seulement pour les annonces de décès et la date de l’enterrement. Ici, on commémore aussi le nombre d’années depuis que la personne est partie. C’est une tradition à laquelle les Bulgares sont très attachés. Certains touristes doivent trouver cela quand même morbide, pensé-je en m’abstenant de commenter.

Y a pas à dire : je surkiffe ma journée. Les parents de Yan sont aux petits soins pour moi, ils m’amènent partout, me montrent certes, des choses touristiques, mais aussi d’autres lieux où je n’aurais jamais pensé mettre les pieds s’ils ne m’y avaient pas emmenée, et racontent à leur petite protégée voyageuse tout un tas d’histoires vraies passionnantes sur leur Bulgarie. La journée est entrecoupée de « Ooooh ! » et de « Aaaaah ? » et surtout, de grands éclats de rire.

Dans un restaurant aux tables et chaises en bois et aux assiettes XXXL, j’engloutis les plats bulgares — pas vraiment diététiques — telle une ogresse qui n’aurait eu aucun piti-nenfant à se mettre sous la dent depuis une semaine.

Un chat devant un magasin de croix et d’objets religieux en Bulgarie

Alors que les parents et le frère de Yan rentrent chez eux, je continue, des histoires insolites plein la tête, ce voyage incroyable avec Yan sur les terres bulgares. Il m’emmène au parc naturel Sinite Kamani, les pierres bleues, massif rocheux vertigineux surplombant le Nord de Sliven. Contrairement à ce qu’on pourrait penser vu le nom, ces massifs ne sont pas vraiment couleur schtroumpf mais une nuance de cette couleur apparaîtrait sous certaines conditions atmosphériques, le plus souvent en soirée. Le parc possède six endroits insolites dont Halkata, phénomène rocheux en forme d’anneau.

Le moins qu’on puisse dire, c’est que je fais le plein d’histoires insolites de voyage, en Bulgarie.Tu veux des paysages à t’en faire décrocher la mâchoire, des randos de ouf sur des versants abrupts et sous des forêts de hêtres, un air pur et une nature qui te fait sentir riquiqui au milieu de l’immensité du monde ?

Les paysages bulgares te feront à coup sûr fermer ton clapet (ou, tout aussi possible, te laisseront bouche bée pendant un long moment).

Tout au sommet, à la fin de notre marche guillerette, les poumons gonflés d’air pur et nous, gonflés à bloc, nous attend la plus belle des récompenses : une vue plongeante sur Dame Nature, assis au milieu de nulle part, sur la sculpture immense et complètement improbable d’un papillon en bois bariolé, planté là par un sculpteur et poète tombé fou amoureux des lieux.

Perchée sur ce papillon démesuré qui a l’air de vouloir s’envoler dans la seconde, je me prends à rêver de récit d’aventures fabuleuses non seulement en Bulgarie, mais aussi en Amérique latine. Pour la première fois de ma vie, dans deux mois, je traverserai l’océan atlantique, en paquebot, avec trois de mes amis. Pour ensuite poursuivre l’aventure en solitaire, sans avoir rien booké. C’est comme si, en ce moment magique qui s’échappe du temps, tout se débloque, tout devient possible. Et c’est juste TROP BON.

Cette sculpture papillon au sommet d’une montagne a sûrement des histoires insolites pour celui qui voyage en Bulgarie

Lorsqu’on fait un dernier tour au centre de Sliven en fin de journée, ma petite robe et mes sandales oranges font sensation auprès de la gérante d’une épicerie qui connaît mon ami depuis tout petit. Alors qu’il lui achète une bouteille de rakia pour ce soir (on ne se refait pas), elle lui glisse quelques mots à l’oreille, il lui répond vite, puis elle s’exclame, les yeux ronds, et lui, il file dehors en réfrénant avec grand-peine un éclat de rire. Je n’ai rien compris à ce qu’ils se sont dit, et je boude un peu de ne pas être mise dans la confidence, surtout que ce qu’elle lui a dit avait l’air d’être très drôle. Ce n’est qu’un peu plus tard, lassé de mes 

Alleeeeeez ! Dis-moi ce qu’elle t’a diiiiiiiiiiit !!

incessants qu’il daigne me traduire leur conversation. Elle lui a d’abord demandé :

Mais qui est cette belle fille ?

Lorsqu’il a répondu que je n’étais qu’une amie, elle s’est exclamée :

Mais tu es FOU ?!

Nous étions deux à être morts de rire ce soir-là.

Après une nuit au sommeil aussi profond que celui de la vieille dame de l’affiche dont on commémorait les 40 ans sous terre, je me lève d’un bond du clic-clac le lendemain matin, prête à vivre de nouvelles histoires insolites pendant mon voyage en Bulgarie. Direction la capitale, Sofia, avec Yan : nous dormirons chez son pote Wasko. Je vais vraisemblablement avoir un prix sur la location d’une voiture car Wasko bosse dans une agence de location… de bagnoles ! Il faut aussi que je m’achète une carte routière de la Bulgarie : avec mon sens désastreux de l’orientation, c’est pas du luxe. En projet ? Varna et Bourgas, à l’Est du pays, sur le bord de la mer Noire.

Nous arrivons dans la capitale bulgare à 8h du soir. Wasko nous repêche en voiture, accompagné de sa petite amie. Comme d’habitude en Bulgarie, la soirée s’annonce pas des plus sobres : bouteilles de bière de 2L et Bailey’s sont à l’honneur. Puis la copine de Wasko en a marre, on la raccompagne donc, mais non sans faire un crochet chez une amie de Yan pour aller… Continuer à se torcher la gueule dans une pizzeria / bar. Et aussi un peu manger (quand même). Wasko a la buvette encore plus facile que Yan : ça promet. La Zagorka, bière du pays issue de la région de Stara Zagora, coule ce soir à flots. À un moment où notre taux d’alcoolémie atteint des sommets, les deux amis d’enfance se mettent à se la jouer solo et à se raconter des petites histoires drôles en bulgare. Moi, la voyageuse qui ne comprends (quasi) mot de ce qui se dit, me voilà non seulement bourrée, mais aussi complètement larguée.

Et, comme je suis complètement larguée, la peur, insidieuse, se glisse dans mon esprit déjà bien embrumé. Je me mets à bouder. Parce que j’en ai marre qu’ils me snobent en parlant bulgare. Parce que je ne sais quasi rien de ce que je vais faire ensuite, une fois que je les aurai tous les deux quittés. Parce que je ne trouve personne pour m’héberger sur son canapé, en couchsurfing. Parce que je m’imagine déjà à la rue, en galère, dans un pays qui m’a l’air si proche de par mes racines mais en même temps, si peu familier. Les démons de cette vieille peur, la peur de vivre finalement, si ancrée en moi encore à ce moment-là, reprennent le dessus sur mon désir pourtant brûlant d’aventure.

Je me demande comment Wasko arrive à nous ramener, en voiture, dans un tel état : il doit être habitué à calculer sa marge d’erreur en double, mais quand même ! On s’effondre tous les trois sur le canapé du salon de Wasko.

La suite ? Des histoires de voyage pas vraiment merveilleuses, mais à la bulgare donc forcément très drôles (lorsqu’on les raconte ensuite). Beaucoup de ronflements bien imbibés, Yan qui ne sait plus à qui il a affaire et qui essaie de me peloter (mais qui se rend compte de son erreur quand je l’envoie chier). Yan encore, qui se lève à 5h du matin pour aller pisser et qui se mange la gueule deux fois à côté du clic-clac. Réveillée par le bruit, je lève une paupière comateuse et j’entends un bruit de zip et de l’eau qui… Mais attends, c’est pas de l’eau !!! Yan, en train de marmonner, pisse, en essayant avec peine de rester debout, dans le pot de la plante et… Sur l’ordinateur portable de Wasko juste à côté. Puis, un peu plus tard, l’alarme de Wasko, qui devait se lever tôt pour aller bosser, sonne pendant dix bonnes minutes sans que Yan (qui me gratifie d’un superbe

Je t’emmerde ! 

lorsque je lui demande de réveiller son pote), ni le principal intéressé, ne l’entendent. Je me résous à me lever et à hurler à Wasko qu’il FAUT SE LEVEEEEER ! À ce moment, je me demande sérieusement ce que je fous là. Et de telles anecdotes déroutantes, en voyage en Bulgarie, j’en aurai souvent.

Ce prêtre orthodoxe assis sur un banc a-t-il des histoires insolites pour celui qui voyage en Bulgarie ?

Avec Wasko, pendant mon bref séjour chez lui, on aura aussi fait, au sommet d’une colline non loin de Sofia, un barbec’ saucisses – côtes de porc accompagnées de leurs poivrons et leurs oignons, copieusement arrosés cela va de soi.

La capitale en elle-même fera l’objet d’un prochain article : celui-ci est bien assez long, je te réserve d’autres histoires insolites de voyage, en Bulgarie ^^

Finalement, je ne loue pas de voiture à Wasko : ce sont des voitures assez classes et la location de tels engins est bien au-dessus de mes moyens. Un peu plus tard dans la matinée, nous montons, avec Yan, dans la voiture de Wasko, qui m’emmène d’abord à la gare centrale de Sofia pour ensuite déposer notre ami commun à l’aéroport : Yan rentre à Paris. Ça me fait tout drôle, d’être à nouveau en trip solo. Mais pas trop le temps de tergiverser : dans 20 minutes, je suis dans le bus pour Varna. N’ayant pas trouvé d’hébergeur là-bas en couchsurfing, j’ai réservé un hôtel pas trop cher entre Varna et les « Sables d’or », station balnéaire aux plages de sable doré très connues ici, classées parmi les plus belles plages européennes, enclavées dans un parc naturel. On verra là-bas pour la location de voiture.


Ces histoires insolites de voyage en Bulgarie sont la suite de mon voyage au féminin en solo insolite en Bulgarie (si tu ne l’as pas encore lu, il vaut le détour).

Tu veux ajouter du mouvement et de la profondeur (et un bon moment de rigolade) au monument de Bouzloudja ? Va faire un tour sur cette vidéo, qui montre le monument de Bouzloudja et les alentours dans un clip.

Astrid, nomade freegan et autostoppeuse du blog Histoires de tongs, a écrit un billet sur sa session urbex de la maison du Parti Communiste bulgare.


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Interactions du lecteur

Commentaires

  1. Adeline dit

    04/12/2020 à 14:21

    C’est clair que ce papillon, il incite aux rêves 🦋
    J’espère que tu pourras revoyager bien vite.

    Répondre
    • Annajo Janisz dit

      04/12/2020 à 20:32

      Je l’espère aussi. On verra bien… En attendant, j’espère faire voyager les lecteurs grâce à mes articles. Bon week-end et merci de ton retour !

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