Bienvenue à toi, âme amie, qui t’aventures par ici sans savoir où ton écoute te mènera. Ceci est le Journal d’Incarnation d’Annajo Janisz suite à son Ouverture à la Conscience. Annajo ajoutera d’autres pistes au fur et à mesure que le Divin la traversera, elle si pitite humaine sur laquelle la Grâce s’est abattue un jour de Mars 2020. Abattue, réduite en poussière en tant que personne, Annajo le fut… et c’est ainsi qu’elle put s’ouvrir à Ce qu’elle était vraiment.
Depuis, Annajo se donne, instant après instant, au Silence Immuable, Insondable, qui annihile quotidiennement toute idée qu’elle se fait d’elle, des « autres », du monde. Elle s’abandonne au Mystère qui la traverse et qui s’exprime à travers sa voix de plus en plus profondément. Elle s’ouvre au Flux Sacré irriguant chacune de ses cellules de plus en plus librement.
Laisse la fréquence bienveillante de la voix d’Annajo réactiver en toi le Souvenir de Ce que tu es vraiment. Ne cherche plus à comprendre avec ta tête, mais ouvre grand tes oreilles… et ton cœur. Détache toi, le temps d’une écoute, de toute attente, de toute analyse, de toute image que tu te ferais de qui tu devrais être ou de qui tu rêverais de devenir. Ainsi se créera en toi, par résonance, durant une écoute totalement ouverte à l’inconnu et à l’Inconnaissable, ta propre guidance intérieure. Le Rappel Ultime de toute vie humaine: Ce que tu es fondamentalement, au-delà de l’expérience humaine, au-delà de l’espace et du temps. Ce que tu n’as jamais cessé d’être un seul instant. Ce qui n’a ni début ni fin… d’où tout part et vers où tout revient.
Journal d’Incarnation: Introduction
S’oublier pour se Rappeler — Poésie Guidance Divine Fréquence #1
C’est l’histoire commune à chacun d’entre nous, humains qui avons oublié Ce que nous sommes fondamentalement et qui, un jour, nous rappelons notre Nature Véritable.
Du Dedans vers le Dehors — Poésie Guidance Divine Fréquence #2
Prendre soin de ce qui se passe en toi lorsqu’un événement extérieur te touche, c’est retourner ensuite vers le monde depuis un espace de sérénité immuable et d’amour infini, que rien ne peut ébranler.
Laisser le corps raconter ses blessures — Poésie Guidance Divine Fréquence #3
Certes, l’éveil spirituel, c’est une chose. Mais ce n’est que le début d’une incroyable et renversante aventure humaine ! C’est enfin ouvrir grand la porte à son ressenti. Laisser le corps raconter les souffrances enfouies pendant tant d’années — souvent une éternité ! Permettre à la Lumière bienveillante de la Conscience d’éclairer ses parts d’ombre. Celles-là mêmes qui n’attendaient que de se déployer pour laisser ensuite l’Âme opérer… et panser toutes les blessures.
Ressentir sans s’approprier — Poésie Guidance Divine Fréquence #4
Ressentir ce qui nous traverse sans nous y agripper ? Plus facile à dire qu’à faire ! Et pourtant… Dans ce 4è podcast tout en douceur de poésie guidance divine fréquence, Annajo t’invite, sans te brusquer, à ressentir le corps — puis les pensées et les émotions qui vibrent en lui — d’une manière plus neutre… sans te les approprier. C’est depuis cet espace de non-appropriation qu’une réelle détente peut commencer à se déployer.
Contrastes déton(n)ants— Poésie Guidance Divine Fréquence #5
En ce moment, sur Terre, se passe quelque chose de passionnant: le ballet incessant des contrastes déton(n)ants. Et si, au lieu d’avoir peur de ces situations parfois… explosives, nous en profitions pour nous familiariser avec nos propres contrastes intérieurs ?
Armistice corporel — Poésie Guidance Divine Fréquence #6
Quand on a fait la guerre à son corps pendant tant d’années, quoi de plus émouvant que cette déclaration de paix envers lui ?
Sentir sans se raconter d’histoires — Poésie Guidance Divine Fréquence #7
Quand on laisse se déployer la sensation qui apparaît dans notre corps, sans rajouter de nouvelles histoires à celles qui se racontent déjà à travers lui, les histoires cessent peu à peu de se raconter. La sensation peut enfin se diluer dans notre éternité, l’amour inconditionnel que nous n’avons jamais cessé d’être et qui peut tout embrasser.